Que Nadie Sepa Mi Sufrir (Amor De Mis Amores)
Angel Cabral (muziek), Enrique Dizeo (tekst) (1936)
intro
No te asombres si te digo lo que fuiste
Un ingrata con mi pobre corazon
Porque el fuego de tus lindos ojos negros
Alumbraron el camino de otro amor
Y pensar que te adoraba ciegamente
Que a tu lado como nunca me senti
Y por esas cosas raras de la vida
Sin el beso de tu boca yo me vi
Amor de mis amores alma mia que me hisite?
Que no puedo consolar me sin poder me contemplar
Ya que pagaste mal mi carino tan sincero
So lo conseguiras que no te nombre nunca mas
Amor de mis amores si dejaste de querer me
No hay cuidado que la gente de esto no se enterara
Que gano con decir que tu amor cambio mi suerte
Se bularan de mi que nadie sepa mi sufrir
(toevoeging Los Lobos:)
break
Y pensar que te adoraba ciegamente
Que a tu lado como nunca me senti
Y por esas cosas raras de la vida
Sin el beso de tu boca yo me vi
Amor de mis amores si dejaste de querer me
No hay cuidado que la gente de esto no se enterara
Que gano con decir que tu amor cambio mi suerte
Se bularan de mi que nadie sepa mi sufrir
break
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(vertaling Edith Piaf)
Je revois la ville en f te et en d lire
Suffoquant sous le soleil et sous la joie
Et j'entends dans la musique les cris, les rires
Qui clatent et rebondissent autour de moi
Et perdue parmi ces gens qui me bousculent
tourdie, d sempar e, je reste l
Quand soudain, je me retourne, il se recule,
Et la foule vient me jeter entre ses bras...
Emport s par la foule qui nous tra ne
Nous entra ne
cras s l'un contre l'autre
Nous ne formons qu'un seul corps
Et le flot sans effort
Nous pousse, encha n s l'un et l'autre
Et nous laisse tous deux
panouis, enivr s et heureux.
Entra n s par la foule qui s' lance
Et qui danse
Une folle farandole
Nos deux mains restent soud es
Et parfois soulev s
Nos deux corps enlac s s'envolent
Et retombent tous deux
panouis, enivr s et heureux...
Et la joie clabouss e par son sourire
Me transperce et rejaillit au fond de moi
Mais soudain je pousse un cri parmi les rires
Quand la foule vient l'arracher d'entre mes bras...
Emport s par la foule qui nous tra ne
Nous entra ne
Nous loigne l'un de l'autre
Je lutte et je me d bats
Mais le son de ma voix
S' touffe dans les rires des autres
Et je crie de douleur, de fureur et de rage
Et je pleure...
Entra n e par la foule qui s' lance
Et qui danse
Une folle farandole
Je suis emport e au loin
Et je crispe mes poings, maudissant la foule qui me vole
L'homme qu'elle m'avait donn
Et que je n'ai jamais retrouv ...